Jean-Noël Thorel, un fondateur avant-gardiste

Pharmacien biologiste français, spécialiste de la cellule, Jean-Noël Thorel est à l’origine de nombreuses recherches sur la bioécologie cutanée, et fondateur des marques Institut Esthederm, Bioderma et Etat Pur.

Dès les années 1970, ce chercheur passionné par le soleil imagine une approche différente de la protection solaire, à contre-courant des idées reçues. Fondée sur l’optimisation du bronzage, protection naturelle de la peau, elle est résolument orientée anti-photo vieillissement.

La compréhension des mécanismes de défense naturels de la peau, la philosophie Esthederm repose sur des partis-pris fondateurs :

 L’ABUS DE SOLEIL EST UN DANGER, SON ABSENCE AUSSI

Le soleil est essentiel à la vie grâce à sa chaleur, sa lumière, son rôle dans la synthèse de Vitamine D et son action d’antidépresseur naturel. Esthederm a choisi d’agir non pas contre, mais avec le soleil.

L’ADAPTATION DE LA PEAU AU SOLEIL, PLUTÔT QUE LA SURPROTECTION

La surprotection par application d’écrans maximaux fait perdre à la peau ses capacités d’adaptation et encourage l’excès de temps d’exposition. Les soins solaires Esthederm optimisent la capacité naturelle de la peau à s’autoprotéger du soleil, naturellement.

LE BRONZAGE EST LA PLUS NATURELLE ET LA PLUS DURABLE DES PROTECTIONS Le bronzage est un système de défense de la peau : la mélanine à l’origine du bronzage est un pigment coloré aux exceptionnelles propriétés d’absorption des UV, anti-radicalaire, et protecteur de l’ADN. La peau se protège en bronzant.

BRONZER SANS VIEILLIR EST POSSIBLE

Bronzer est une réaction naturelle de la peau qui constitue une protection contre les dangers du soleil. Les soins solaires Esthederm sont conçus pour neutraliser les effets délétères à l’origine du photovieillissement, en stimulant les capacités d’autodéfense naturelles, dont le bronzage.

L’INÉGALITÉ DES PEAUX AU SOLEIL N’EST PAS UNE FATALITÉ

Notre expertise de la biologie cellulaire permet de rééduquer les peaux les plus sensibles, de normaliser leur réaction face au soleil et de les conduire à une meilleure tolérance de doses progressives d’ensoleillement.

– Nathalie